Améliorer l’intelligence émotionnelle chez l’enfant
Le terreau de la confiance
Développer son intelligence émotionnelle permet à l’enfant d’être en meilleure relation à lui-même. C’est cette forme d’intelligence qui permet de repérer et verbaliser un ressenti. L’enfant qui la développe comprend qu’être frustré, triste, ou en colère est un sentiment normal. En acceptant mieux l’émotion, il la gère mieux, éprouve moins de honte vis-à-vis du ressenti. Autant d’éléments qui contribuent à l’estime de soi.
Une étude menée par l’American Psychological Association a mis en avant qu’un enfant qui gère mieux ses émotions a souvent une meilleure performance scolaire et surmonte mieux l’échec.
La base de la relation à l’autre
L’enfant à l’écoute de ses sentiments a une bonne base pour repérer et tenir compte de ceux des autres. Cela se nomme l’empathie ; la capacité à se mettre à la place de l’autre. Cette qualité est précieuse pour l’harmonie des interactions sociales.
Pionnier de l’approche humaniste, centrée sur la personne, Carl Rogers résume cela lorsqu’il écrit qu’une« Une écoute empathique est peut-être l’atout le plus puissant que nous puissions offrir à quelqu’un. » Un pilier fondamental de l’intelligence émotionnelle, cette écoute gagne à être enseignée aux enfants.
Un régulateur de stress et conflit
En apprenant à gérer ses émotions, un enfant se laissera moins facilement submerger par le stress. Cela devient une émotion qu’il sait appréhender. Au sein de sa famille ou avec ses pairs, il devient mieux équipé pour une résolution constructive des conflits.
Comment contribuer à développer intelligence émotionnelle ?
1. Une émotion peut être accueillie
Même difficile, l’expression de l’émotion d’un enfant peut être reconnue sans, ni la minimiser ni la dramatiser. Haim Ginott, psychologue : « Reconnaître les sentiments d’un enfant, c’est lui montrer qu’il est compris et aimé, peu importe ce qu’il ressent. »
Ses apprenantes, A.Faber et H. Mazlish suggèrent par exemple des typologies de réponses dans ce sens. Face à un enfant qui rentre de l’école en disant “ j’en ai marre de tous ces devoirs “, nous pourrions par exemple répondre par « tu es sacrément fâché. Veux-tu m’en parler ? »
2. Autoriser l’expression de l’émotion
Attention, nous parlons bien de l’émotion. Toute émotion est légitime, pas tous les comportements !
Pour aider les enfants à s’exprimer dans ce sens, les histoires, les jeux ou les dessins sont puissants. Pour les plus jeunes, tu peux aussi leur induire des phrases simples comme « Je suis frustré car … “ Ils apprendront mieux à communiquer autour de leurs ressentis,
3. Des techniques pour gérer les émotions
Pourquoi pas enseigner des stratégies simples comme la respiration ou le cahier de ressentis. L’enfant peut y trouver des ressources pour faire à une émotion intense.
Par exemple : essayez de lui proposer d’inspirer lentement en comptant 1,2,3, 4, 5 … jusqu’à trois, puis à expirer de la même manière, plusieurs fois de suite.
4. Attention à ton exemple
Grâce aux neurones miroirs, les enfants apprennent des observations de leur entourage ! Plus tu gères tes émotions avec empathie, sans explosion… plus, ils seront susceptibles de t’imiter dans le bon sens !
Intégrer l’intelligence émotionnelle : un atout pour toujours
Aider un enfant à tenir compte de l’intelligence émotionnelle, c’est lui offrir un cadeau inépuisable. Veux-tu lui donner les clés pour, grandir en confiance, en autonomie, avec des relations authentiques ? Je t’invite à découvrir comment améliorer ces compétences avec les prestations Faber-Mazlish qui proposent des ressources concrètes dont l’efficacité est déjà bien éprouvée.
« Ce qui est le plus personnel est souvent ce qui est le plus universel », écrit Carl Rogers. Enseigner enfants à écouter, comprendre et à partager leurs émotions, c’est construire un pont entre eux et la société.
Prêt(e) pour cette belle aventure ?
Améliorer l’intelligence émotionnelle chez l’enfant
Le terreau de la confiance
Développer son intelligence émotionnelle permet à l’enfant d’être en meilleure relation à lui-même. C’est cette forme d’intelligence qui permet de repérer et verbaliser un ressenti. L’enfant qui la développe comprend qu’être frustré, triste, ou en colère est un sentiment normal. En acceptant mieux l’émotion, il la gère mieux, éprouve moins de honte vis-à-vis du ressenti. Autant d’éléments qui contribuent à l’estime de soi.
Une étude menée par l’American Psychological Association a mis en avant qu’un enfant qui gère mieux ses émotions a souvent une meilleure performance scolaire et surmonte mieux l’échec.
La base de la relation à l’autre
L’enfant à l’écoute de ses sentiments a une bonne base pour repérer et tenir compte de ceux des autres. Cela se nomme l’empathie ; la capacité à se mettre à la place de l’autre. Cette qualité est précieuse pour l’harmonie des interactions sociales.
Pionnier de l’approche humaniste, centrée sur la personne, Carl Rogers résume cela lorsqu’il écrit qu’une« Une écoute empathique est peut-être l’atout le plus puissant que nous puissions offrir à quelqu’un. » Un pilier fondamental de l’intelligence émotionnelle, cette écoute gagne à être enseignée aux enfants.
Un régulateur de stress et conflit
En apprenant à gérer ses émotions, un enfant se laissera moins facilement submerger par le stress. Cela devient une émotion qu’il sait appréhender. Au sein de sa famille ou avec ses pairs, il devient mieux équipé pour une résolution constructive des conflits.
Comment contribuer à développer intelligence émotionnelle ?
1. Une émotion peut être accueillie
Même difficile, l’expression de l’émotion d’un enfant peut être reconnue sans, ni la minimiser ni la dramatiser. Haim Ginott, psychologue : « Reconnaître les sentiments d’un enfant, c’est lui montrer qu’il est compris et aimé, peu importe ce qu’il ressent. »
Ses apprenantes, AFaber et H. Mazlish suggèrent par exemple des typologies de réponses dans ce sens. Face à un enfant qui rentre de l’école en disant “ j’en ai marre de tous ces devoirs “, nous pourrions par exemple répondre par « tu es sacrément fâché. Veux-tu m’en parler ? »
2. Autoriser l’expression de l’émotion
Attention, nous parlons bien de l’émotion. Toute émotion est légitime, pas tous les comportements !
Pour aider les enfants à s’exprimer dans ce sens, les histoires, les jeux ou les dessins sont puissants. Pour les plus jeunes, tu peux aussi leur induire des phrases simples comme « Je suis frustré car … “ Ils apprendront mieux à communiquer autour de leurs ressentis,
3. Des techniques pour gérer les émotions
Pourquoi pas enseigner des stratégies simples comme la respiration ou le cahier de ressentis. L’enfant peut y trouver des ressources pour faire à une émotion intense.
Par exemple : essayez de lui proposer d’inspirer lentement en comptant 1,2,3, 4, 5 … jusqu’à trois, puis à expirer de la même manière, plusieurs fois de suite.
4. Attention à ton exemple
Grâce aux neurones miroirs, les enfants apprennent des observations de leur entourage ! Plus tu gères tes émotions avec empathie, sans explosion… plus, ils seront susceptibles de t’imiter dans le bon sens !
Intégrer l’intelligence émotionnelle : un atout pour toujours
Aider un enfant à tenir compte de l’intelligence émotionnelle, c’est lui offrir un cadeau inépuisable. Veux-tu lui donner les clés pour, grandir en confiance, en autonomie, avec des relations authentiques ? Je t’invite à découvrir comment améliorer ces compétences avec les prestations Faber-Mazlish qui proposent des ressources concrètes dont l’efficacité est déjà bien éprouvée.
« Ce qui est le plus personnel est souvent ce qui est le plus universel », écrit Carl Rogers. Enseigner enfants à écouter, comprendre et à partager leurs émotions, c’est construire un pont entre eux et la société.
Prêt(e) pour cette belle aventure ?
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