Des Mots qui Inspirent la Coopération des Enfants
Les mots employés choisis sont-ils si importants ?
Leur pouvoir est immense. Ils motivent, encouragent, ou peuvent blesser et décourager. Pour favoriser leur coopération, chaque mot compte lors de vos interactions avec less enfants. Influant psychologue, Carl Rogers écrit que « l’empathie commence par les mots que nous choisissons. » C’est pourquoi je recommande de prêter attention à notre manière de nous adresser aux enfants.
De récentes études montrent qu’exposés à un langage positif et constructif, les enfants développent une meilleure estime d’eux-mêmes et sont plus enclins à collaborer. Même si la perfection n’existe pas, les mots de bienveillance permettent de créer la confiance dans un climat de respect mutuel.
Quels mots choisir pour inspirer ?
1. Parlez avec respect et empathie
Auteur de “Entre parent et enfant” Haim Ginott affirme : « Les mots que nous utilisons peuvent bâtir ou détruire une relation. Parlons pour connecter, et non pour corriger. »
Comme les adultes, les enfants réagissent mieux à un langage empreint de respect. Alors, pourquoi pas, plutôt que donner des ordres, exprimer vos attentes avec suggestions et description ?
Par exemple, plutôt que de dire « Range le placard tout de suite ! », pourquoi pas essaye : « Le placard est en désordre. Comment peux-tu ranger les chaussettes pour que ce soit plus joli ? ».
2. Le pouvoir de phrases positives
L’étude de l’université de Stanford montre que les enfants sont 30 % plus susceptibles de coopérer s’ils reçoivent des commentaires positifs, et ce durablement.
Je recommande donc d’encourager plutôt que de critiquer. Une remarque négative motive souvent moins qu’une phrase positive.
Par exemple : l’enfant aime sans doute mieux « Ah, je constate que tu as essayé ! Comment te sentirais-tu si on trouvait une autre façon de faire ? » que « Tu fais tout de travers ! ».
3. Les demandes engagent
Valorise la responsabilisation et l’autonomie, développe des compétences cruciales pour l’avenir.
Imaginez-vous à formuler vos attentes sous forme de questions ouvertes qui impliquent votre enfant plutôt que d’imposer,
Exemple : « Comment pourrais-tu t’organiser pour ranger ta chambre avant 17H ? »
Soyons vigilants aux travers courants…
1. Les critiques qui blessent
« Tu ne fais que des bêtises ! » sape la confiance, même enferme l’enfant dans un rôle.
2. Les comparaisons entre enfants
Fréquemment, comparer un enfant à d’autres enfants est contre-productif. Cela crée des tensions inutiles et de la compétition.
« Regarde comme ta sœur travaille bien, elle ! »
3. Chantage et menaces
« Si tu ne ranges pas de suite, tu seras puni ! » risque d’entraîner un ressentiment. Cela marche à court terme, mais ne rends pas l’enfant volontairement coopérant.
Quels mots encouragent la coopération ?
1. La Reconnaissance des efforts, même minimes
L’enfant se sent reconnu et valorisé lorsque le parent fait le pas pour approuver ses compétences.
2. Verbaliser les émotions
Cela met l’enfant en contact avec ce qui se passe en lui et l’aide à l’accepter… et se sentir accepté.
3. Créer plus dialogue… surtout après des tensions !
A. Faber et H. Mazlish ont structuré tout un programme pratique pour s’entrainer à ces habiletés relationnelles et les appliquer chez soi ! Cela renforce la confiance et l’autonomie.
Les mots sont l’architecture du pont vers la coopération.
Les mots du quotidien peuvent être de vrais tremplins pour vous et la coopération des enfants. Empathie, valorisation des efforts, et critique transformé en description en sont le terreau ! Si tu veux découvrir des ressources concrètes et éprouvées, pour le mettre en pratique, je te propose de découvrir ma section de formations Faber Mazlish.
« Ce qui compte le plus, ce n’est pas ce que nous faisons, mais comment nous le faisons », écrit Carl Rogers. Alors…
Prêts à t’entrainer à choisir des mots ?
DES MOTS QUI INSPIRENT LA COOPÉRATION DES ENFANTS
Les mots employés choisis sont-ils si importants ?
Leur pouvoir est immense. Ils motivent, encouragent, ou peuvent blesser et décourager. Pour favoriser leur coopération, chaque mot compte lors de vos interactions avec les enfants. Influent psychologue, Carl Rogers écrit que « l’empathie commence par les mots que nous choisissons. » C’est pourquoi je recommande de prêter attention à notre manière de nous adresser aux enfants.
De récentes études montrent qu’exposés à un langage positif et constructif, les enfants développent une meilleure estime d’eux-mêmes et sont plus enclins à collaborer. Même si la perfection n’existe pas, les mots de bienveillance permettent de créer la confiance dans un climat de respect mutuel.
Quels mots choisir pour inspirer ?
1. Parlez avec respect et empathie
Auteur de “Entre parent et enfant” Haim Ginott affirme : « Les mots que nous utilisons peuvent bâtir ou détruire une relation. Parlons pour connecter, et non pour corriger. »
Comme les adultes, les enfants réagissent mieux à un langage empreint de respect. Alors, pourquoi pas, plutôt que donner des ordres, exprimer vos attentes avec suggestions et description ?
Par exemple, plutôt que de dire « Range le placard tout de suite ! », pourquoi pas essayer : « Le placard est en désordre. Comment peux-tu ranger les chaussettes pour que ce soit plus joli ? ».
2. Le pouvoir de phrases positives
L’étude de l’université de Stanford montre que les enfants sont 30 % plus susceptibles de coopérer s’ils reçoivent des commentaires positifs, et ce durablement.
Je recommande donc d’encourager plutôt que de critiquer. Une remarque négative motive souvent moins qu’une phrase positive.
Par exemple : l’enfant aime sans doute mieux « Ah, je constate que tu as essayé ! Comment te sentirais-tu si on trouvait une autre façon de faire ? » que « Tu fais tout de travers ! ».
3. Les demandes engagent
Valorise la responsabilisation et l’autonomie, développe des compétences cruciales pour l’avenir.
Imaginez-vous à formuler vos attentes sous forme de questions ouvertes qui impliquent votre enfant plutôt que d’imposer,
Exemple : « Comment pourrais-tu t’organiser pour ranger ta chambre avant 17H ? »
Soyons vigilants aux travers courants…
1. Les critiques qui blessent
« Tu ne fais que des bêtises ! » sape la confiance, même enferme l’enfant dans un rôle.
2. Les comparaisons entre enfants
Généralement, comparer un enfant à d’autres enfants est contre-productif. Cela crée des tensions inutiles et de la compétition.
« Regarde comme ta sœur travaille bien, elle ! »
3. Chantage et menaces
« Si tu ne ranges pas de suite, tu seras puni ! » risque d’entraîner un ressentiment. Cela marche à court terme, mais ne rends pas l’enfant volontairement coopérant.
Quels mots encouragent la coopération ?
1. La Reconnaissance des efforts, même minimes
L’enfant se sent reconnu…
2. Verbaliser les émotions
Cela met l’enfant en contact avec ce qui se passe en lui et l’aide à l’accepter… et se sentir accepté.
3. Créer plus dialogue… surtout après des tensions !
A. Faber et H. Mazlish ont structuré tout un programme pratique pour s’entrainer à ces habiletés relationnelles et les appliquer chez soi ! Cela renforce la confiance et l’autonomie des enfants.
Les mots sont l’architecture du pont vers la coopération.
Les mots du quotidien peuvent être de vrais tremplins pour vous et la coopération Des enfants. Empathie, en valorisation des efforts, et critique transformée en description en sont le terreau !
« Ce qui compte le plus, ce n’est pas ce que nous faisons, mais comment nous le faisons », écrit Carl Rogers. Alors…
Prêts à t’entrainer à choisir des mots ?
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